L'information c'est VITAL ! Donc n'hésitez pas à surinformer tous les maréchaux. Où vous êtes qui vous avez rencontré, l'état de vos troupes.
La 1ere division est arrivée au bar-tabac que vous lui aviez fixée, très bien, mais seul vous le sait si vous n'alertez pas les autres. Or peut-être qu'une autre division n'en est pas si loin hésite à avancer pensant que l'ennemi n'est pas loin alors que, de fait, la route est libre.
Vous aimeriez que vos viennent en aide, fort bien, mais si vous leur dite en les croisant par hasard durant une déroute, c'est trop tard. Le terrain est grand il faudra une dizaine d'heures à un coursier pour aller d'un bout à l'autre, pensez-y.
Quand vous etes attaquer, précisez toujours si vous maîtrisez la situation ou si vous pensez que des renforts s'imposent et dans quelle proportion. Si vous écrivez juste, "j'ai été battu", personne ne saura si c'est de justesse et que vous tenez bon ou si vous étiez à 5 contre 1 et votre situation est désespérée.
Je parais peut-être un peu autoritaire mais je vous vous racontez une histoire que j'aimerai vraiment, mais alors vraiment, ne pas voir reproduit dans cette partie.
C'était un jeu sur la guerre de Sécession,
J’étais commandant en chef, sans troupes, il y avait deux autres joueurs l’un tenait le front, l’autre la réserve. Malgré mes demandes insistantes et répétées, durant une dizaine de tours, le joueur au front ne m’a donné aucune information sur ce qui se passait. J’étais totalement aveugle. Exaspéré, je lui ai retiré le commandement d’un de ses corps, non pas pour le punir, mais juste pour comprendre la situation. Le joueur fut naturellement furieux me traitant de tous les noms parce que je lui avais pris une unité à un moment critique. Et, en effet, critique était la situation ! La moitié des troupes avait été anéantis et le reste s’enfuyait à travers bois… Tellement catastrophique qu’il était devenu inutile de faire avancer une réserve qui aurait contre-attaquer à un contre deux. On dépose les armes, fin de la partie. Trois joueurs furieux, celui au front parce que je lui avais ôté ses troupes, celui de la réserve parce qu’il avait passé tout son temps l’arme au pied en attendant un ordre de ma part. Et moi parce que je n’avais pour ainsi dire rien vu ni rien pu faire.
Donc Communiquez ! Mieux vaut trop d’informations que pas assez.